Quelques heures après l’annonce de la Cour Suprême du Kenya d’interdire le déploiement des soldats kényans en Haïti, le Gouvernement de ce pays de l’Afrique de l’Ouest a réagi via un communiqué. « Nous contestons immédiatement le verdict de la Cour Suprême, même si nous respectons l’État de droit », a déclaré la Présidence du Kenya dans ce document.
La Cour Suprême du Kenya a bloqué le déploiement de 1 000 policiers kényans en Haïti pour aider à lutter contre la violence des gangs. Le juge Chacha Mwita a estimé que le déploiement était illégal, car le Conseil de sécurité nationale n’avait pas le mandat de déployer des policiers à l’étranger. Selon la loi kényane, le gouvernement ne peut déployer des policiers à l’étranger que si un accord de réciprocité est en place avec l’autre pays.
La décision de la Cour Suprême a jeté le doute sur l’avenir d’une initiative visant à lutter contre la violence des gangs en Haïti. La Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) a été créée en 2004 pour aider à rétablir l’ordre et la stabilité dans le pays. La MINUSTAH a été remplacée en 2017 par la Mission des Nations Unies pour l’appui à la justice en Haïti (MINUJUSTH), qui a pour objectif de renforcer les institutions judiciaires et de promouvoir les droits de l’homme.
Null besoin d’une force internationale pour résoudre la crise de mon pays, la Police Nationale d’Haiti peut éradiquer les gangs. La.PNH a besoin seulement de 2 choses pour saper l’horreur des gangs qui terrorrisent la population haïtienne en toute impunité:
1 ) les pays du CORE Group , notamment les États-Unis surtout, la France et le Canada doivent cesser de manipuler l’administration et les operations policières en imposant les chefs et
certains autres hauts gradés de cette institution
.
2) des moyens efficaces pour l’institution policière.
Pour comprendre que l’envoie d’une force multnationale n’est pas la bonne solution , ni la solution souhaitée par le peuple hatien, il suffit premièrement , repasser lhistoire de l’expérience du peuple haitien avec les missions onusiennes: elles ne laissent que des dommages qui ont encore aujourd’hui des consequences crucialement liées à la situation inhumane qui range le pays., particulièrement sur le plan de la sécurité. Segundo, de tester l’opinion du populaire et celle des responsables d’organisation.
Sans l’influence des États-Unis et les autres États suivistes de la politique impérialiste antidessalinienne étasunienne ou occidentaliste , la situation d’Haiti est facile à résoudre.
Pourquoi et Comment les États-Unis arrivent-ils à mettre Haiti dans états meconnaissable et inhumain?
Cette nation nègre qui est l’exemple parfait de resistance et de possibilité de finir avec le système néoesclavagiste et antinègre, doit être la risée du monde en sorte que les autres nations étant aussi victime de ce système de prédation y voient un exemple dangereux de revolter.
Comment? : la politique internationale ou toute relation diplomatique avec Haïti ne doivent être réglées qu’avec des apatrides, des gens qui ont déjà servi à des causes malhonnêtes contre le leur pays.
En effet, tous les président qui ont de vrais projets
de development pour Haiti n’ont jamais réussi à prendre le pouvoir. Les rares d’entre eux n’ont jamais réussi à terminer leur mandat( le président Estimé en est l’exemple parfait). Pourtant, tous ces qui sont au service de l’étranger , les États-Unis les ont toujours protégés ( les 4 chefs derniers du regime PHTK en est le Clair exemple.). Le PM Ariel Henry est sans aucune légitimité et perd toute qualité de d’être un dirigeant même au plus bas de l’ordre de la magistrature et l’administration de l’État à cause de son inculpation dans l’assassinat du président Jovenel Moïse. Malgré ce scandal indescriptible, il est jusqu’ici bien gardé au pouvoir , car fait l’affaire de l’international qui se dit pourtant ami d’Haiti.
Je comprends depuis quelque chose depuis fort longtemps: la démocratie, pour l’Occident, particulièrement les États-Unis, c’est leur avantage, et leur avantage, c’est notre malheur, notre fin.